Arrêter de fumer
Le tabagisme
La dépendance au tabac
Comme pour la plupart des addictions, le fumeur doit faire face à la dépendance physique et à la dépendance psychologique. La stricte dépendance physique est dépassée en une semaine mais le manque et le besoin de cigarette demeure. La cigarette et le geste qui l'accompagne ne représente pas la même chose et n'occupe pas la même fonction pour chacun. De ce fait, s'arrêter de fumer ne suppose une méthode identique pour tous les fumeurs et les difficultés ne sont pas les mêmes pour chacun. Lorsque la décision est prise, il s'agit de se l'appliquer tout seul dans un premier temps. Parfois, la première fois est la bonne et l'arrêt persiste dans le temps, parfois définitivement. Dans d'autres cas, et ils sont fréquents, les rechutes et les nouveaux arrêts se succèdent. S'il est toujours bon pour la santé de s'arrêter même quelques mois, il est parfois éprouvant psychologiquement de traverser les rechutes et les déceptions à répétition. C'est dans ces cas qu'une aide peut favoriser la stabilisation de l'arrêt.
L'aide de la sophrologie
La sophrologie est un bon support dans ce processus difficile qu'est l'arrêt du tabac.
Elle permettra par apprentissage de méthode de relaxation de gérer les tentations de rechute qui sont toujours très fréquentes et très nombreuses. Elle permettra d'envisager positivement les conséquences de l'arrêt du tabac et de renforcer la démarche. L'écoute du sophrologue aidera enfin l'ancien fumeur à évacuer ses pensées négatives et à faire le deuil de la cigarette. Les protocoles pour les arrêt tabagique sont assez brefs, en général, cinq ou six séances assez rapprochés puis des rendez-vous très espacés si besoin pour soutenir et maintenir la motivation dans la démarche. Enfin, les techniques sophrologiques permettront de supporter plus facilement le manque.